Cerveau émotionnel: Archaïque, amour, joie, peur, tristesse, émotions, inconscient.
Le stress est géré dans le cerveau émotionnel par l’amygdale. Le stress est perçu comme le signe d’un danger extérieur qui nous menace.
Elle réagit instantanément en secrétant des hormones dustress (cortisol, adrénaline, ocytocine, vasopressine) qui vont accélérer le pouls, stopper la digestion, stopper l’immunité, envoyer le sang dans les jambes et bras pour courir plus vite,(préparer le corps au combat ou à la fuite).
Hippocampe: Son rôle et d’éteindre l’amygdale quand le stress est passé et de permettre au cortex préfrontal (siège de la raison et la logique) de se rallumer. Sauf qu’après une période prolongée de stress, l’amygdale détruit l’hippocampe et l’hippocampe ne peut rallumer le cortex préfrontal donc le raisonnement logique de la personne.
Cortex préfrontal: Pensées, langage, raison, conscient, réfléchir.
Retarderait les réflexes de survie donc en cas de stress le cortex préfrontal est débranché par l’amygdale.
Le problème chez les personnes dépressives, c’est que l’amygdale pense que la personne est en danger permanent, qui maintient un stress chronique sur lequel le cerveau a perdu tout contrôle, après plusieurs semaines l’hippocampe se fait attaquer par l’amygdale pendant la dépression, le stress augmente tellement qu’il finit par détruire les hormones de l’hippocampe.
Il ne peut plus assurer son fonctionnement cortex préfrontal reste éteint. Les personnes dépressives sont coupées d’une moitié d’elle-même, elles sont emportées par le torrent de leurs émotions que rien ne peut contrôler.
L’antidépresseur Stoppe l’amygdale
Le sport 30 minutes 3 fois par semaine rempli le même rôle que l’antidépresseur (prouvé par l’université de Duke) au bout de 4 mois les avaient soigné .
Les personnes sous traitement qui ont arrêté des antidépresseurs on rechuter à 40% et seulement 8 % on rechuter celle qui étaient traité avec le sport.
D’où vient la dépression?
Elle est généralement déclenché par un événement qui peut passer inaperçu (insignifiant), dès le premier événement le cerveau commence sa modification, ensuite il faudra des événements de plus en plus insignifiant pour tomber dans la dépression jusqu’à ce que au final, il n’en faille pratiquement plus aucun.
La personne devient prisonnière de ses émotions folles qui peuvent générer les troubles de l’humeur.
Pour qu’on vous diagnostique une dépression aiguë (court terme), ou chronique (long terme), votre humeur doit avoir cessé d’obéir au schéma normal de va-et-vient.
Vous n’arrivez plus à surmonter un sentiment de tristesse, l’impuissance et de désespoir ou à vous intéressez aux choses qui vous entourent.
Vos activités quotidiennes vous paraissent accablantes.
Freud a rattaché la dépression au chagrin ces 2 états étant similaire.
Dans de nombreux cas de même que le chagrin disparaît naturellement après un certain temps, la dépression s’en va. Voir (5 étapes du deuil :choc/ le déni, colère, négociation, dépression/ douleur, acceptation).
Mais si elle perdure, la personne fait face au quotidien sans espoir de soulagement.
Elle considère que sa vie est un échec total et il se peut qu’elle ne voit aucune raison de continuer à vivre (environ 80 % des suicides sont provoqués par un accès de dépression majeure).
Les personnes touchées généralement ne se souviennent pas quand cela a commencé.
Elle pense peut-être que c’est génétique, ou alors elle se souviendront vaguement, quand elles étaient constamment triste où qu’elles se sentaient désespérer.
La dépression ainsi que l’autisme sont le plus génétique des troubles psychologiques.
Jusqu’à 80 % des personnes qui en souffre ont eu un membre de leur famille qui est, où a été touché.
Mais dans la plupart des cas, les gènes ne font que prédisposer une personne aux troubles de l’humeur sans en garantir l’apparition .
Pour former une maladie psychiatrique, les gènes et l’environnement (épigénétique) doivent travailler de concert.
L’inverse de la dépression n’est pas : être heureux mais dynamique, c’est pourquoi les personnes dépressives se sentent très fatigué.
La fatigue engendre une plus grande dépression
Comment soigner une dépression?
La personne doit décider consciemment qu’elle n’est pas son cerveau, faire corps avec ses émotions et ses réactions au monde externe
La personne agit alors en meneur et elle peut activement reprogrammer sa neuro chimie et même l’activité génétique sans plus avoir à subir et entretenir ses troubles de l’humeur.
La clé et de redonner du mouvement dans les parties bloquées ou déséquilibrées de votre cerveau.
Avec le temps vous pouvez l’aider à retrouver un équilibre naturel.
3 étapes dans la dépression
Une fois que le cerveau a été habitué, ses réactions paraissent normale et les personnes se sont habituées à vivre comme ça.
Il n’est pas établie que les antidépresseurs agissent en corrigeant un déséquilibre chimique.
Quand les patients dépressifs suivre la psychothérapie approprié rien que de pouvoir parler de leurs sentiments, leur cerveau change, comme il changerait sous l’effet des médicaments.
Comment la parole est une prise de comprimés peuvent-elles produire le même résultat psychologique? on ne le sait pas.
Souvent si l’habitude persiste, c’est que la personne ne voit pas de bonnes raisons de la modifier et s’il en était de même pour la dépression?
Considérons que la dépression agit comme un comportement figé :
1 une cause externe première
2 une réaction à cette cause, qui pour une raison ou une autre, est malsaine où ignorée
3 une habitude de longue date devenu automatisme
On parle de dépression légère ou modérée dont souffre la plupart des dépressif (la dépression grave chronique doit être considérée comme des troubles mentaux grave)
Si la personne est en deuil travail divorce… Ce sont des émotions naturelles qui peuvent mal tourner.
1 cause extérieure: Toute personne peut connaître la dépression à la suite des événements extérieurs : perte d’un emploi, rupture, travail ennuyeux, isolement social, maladie chronique…
Si vous vous exposez à un stress sur une longue période, il est probable que la dépression vous guette.
La personne réagit a des circonstances négatives soit dans l’instant soit dans le passé.
2 la réaction c’est la réaction à l’événement qui va mener à la dépression , notre façon de réagir (négative, autocritique..), notre capacité à la résilience.
3 l’habitude d’être dépressif
Une fois que vous avez une réaction dépressive, elle renforcera la réaction suivante quand vous serez à nouveau confronté à un stress extérieur.
Vous vivez une chose mauvaise, vous avez peur que la dite chose se reproduise.
Que d’être dans la résilience comme certaines personne, elles vont alimenter leur peur à l’intérieur d’elle-même et cela deviendra une habitude.
Les dépressifs déprime parce qu’ils sont dépressifs.
L’optimisme est impossible. Ils sont dans un défaitisme permanent la personne attends chaque événement comme un nouvel échec ou comme quelque chose de négatif.
la Scintigraphie cérébrale des personnes dépressive montre que les mêmes aire stimulées grâce aux effets bénéfiques des antidépresseurs le sont également, si la personne commence une thérapie par la parole, le discours étant une forme de comportement.
Et si le comportement peut soustraire à la dépression, on peut penser qu’il peut aussi la déclencher.
Pour une personne fragile dans une mauvaise situation (femme battue,) qui reste dans cette situation tout son système mental corps, va se fermer.
C’est ce qui se passe quand on fait subir à des souris de légers électrochocs que l’on reproduit sans cesse à intervalle aléatoire, même si ils sont inoffensifs ,les souris se résignent, elles deviennent léthargiques est impuissantes et au bout d’un certain temps, elles mourront.
Leur dépression induite et tellement extrême, qu’elle a détruit leur volonté de vivre .
Premièrement pour éviter la dépression
Cesser de vous exposer à des stress répétitif et éviter l’imprévisibilité stressante (sentiments d’insécurité).
Il faut développer des habitudes prévisible pour vous prémunir contre le stress :
Des bonnes nuits de sommeil, faire du sport, avoir un couple stable, fiable.
Ces habitudes vous aideront à éviter la dépression en donnant une direction positive à suivre à votre cerveau.
Se sentant Impuissant et désespérer les dépressifs demande à être passif dans les situations stressantes, car ils ne trouvent pas de moyen efficace de se sortir de ce genre de situation. Ils s’empêchent de prendre des décisions clés qui pourrait les aider et à la place, ils s’en remettent à l’indécision qui ne fonctionne pas. Et quand vous n’êtes pas touché par la dépression vous pouvez en général savoir ce qu’il faut améliorer est quoi tolérer. Quand vous éloignez, ce sont des choix basiques que vous devez faire tout au long de votre vie.
Si vous savez que vous êtes sujet à la dépression, il faut gérer les problèmes directement. Plus vous attendez, plus vous avez la probabilité que la réaction dépressive s’enclenche.
La dépression rend hypersensible au problème mineur, ce qui conduit à un sentiment de résignation et d’impuissance mais, si vous agissez en amont avant d’en arriver là, vous avez le temps de gérer un stress quotidien ainsi que l’énergie nécessaire pour appliquer cette décision.
Apprenez à prendre rapidement ce genre de décision et à ignorer la petite voix qui vous avertit qu’il ne faut pas faire de vagues (cerveau reptilien mode survie). En faisant cela vous prenez les devant et, un problème, sera plus facile à réparer s’il a été évité en amont, au lieu d’attendre que le problème soit bien installé.
Dans le cas de la dépression même installé on peut s’en sortir, en modifiant les croyances qui mettent en échec une personne dépressive, on peut l’aider à se remettre.
Les croyances sont comme des logiciels qui répètent les mêmes commandes à la différence, qu’elles sont plus pernicieuse dans la mesure où elles s’installent, le plus profondément à chaque fois.
Remplacer les croyances toxiques en sens inverse au positif et passer du mode passif à actif, se forcer à faire des choses et à rencontrer des gens commencer par des petits pas.
Derrière le masque de la dépression, comportement lié à une réaction figée, où se trouve votre être véritable. Le soi fondamental qui peut diriger le processus de guérison.